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PACES mon amour
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2 novembre 2018

il y était un jeune externe

Je vais tenter de rendre compte de mes tribulations au moins une fois par semestre, pas sûr que cela tienne sur la durée mais il faut bien commencer.
Mise dans le bain assez brutale par une garde aux urgences cardio, ou comment prendre l'ampleur de ce qu'il reste à accomplir. La suite plus calme puisque objectivement je ne sert que as des choses mineures, spéciale dédicace aux ECG, mais reste néamoins un esclave bien utile au service (et économique).
Puis s'installe une routine 2 semaine de stage, 2 semaines sans. À peine habitué à ce nouveau rythme qu'il faut changer. Les semaines défilent, les pages, les livres et les cas cliniques aussi c'est encore une fois les montagnes russes j'y arriverai, je n'y arriverai pas.
Très vite s'approche les examens le stress monte je constate à quel point nos vies ont changées, tous mes coexternes même les plus branleurs semblent à fond. Tic tac tic tac, le concours est dans 3 ans et la guerre est déjà déclarée et il semble qu'elle ai commencé dès la fin de la 3ème année puisque beaucoup on bossé cet été (moi quoi pensait avoir pris de l'avance... je me retrouve presque en retard)
Un petit regard vers l'avenir me montre que le futur est encore plus sombre et je renonce douement ( à tort ou à raison) à mes espoirs de voyage, à mes espoirs d'une vie hors médecine, le concours d'abord.
En parallèle je découvre le SIDES, magnifique plateforme d'entraînement qui, une fois de plus, me met face à mon ignorance et enfonce le clou.
Bref je suis rentré dans un cercle infernal qui devrait durer 3 ans au terme duquel la moulinette du concours décidera de toute ma vie, et gare à l'échec car les ECN sont supprimés l'année suivante. Sur ce je retourne découvrir les méandres de la médecine et muscler mon petit cerveau atrophique, oui il n'y a pas d'heure ni de limite

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